Chaque année, les propriétaires de fantasy football parlent sans arrêt des sleeper et des breakout candidates avant leurs drafts. Vous entendrez aussi beaucoup parler de joueurs potentiellement ratés et de joueurs à ne pas sélectionner. Quelque part entre les deux se trouvent les joueurs “boom-or-bust” – des gars qui sont relativement hauts dans les classements mais qui comportent plus de risques qu’il n’y paraît au départ.
Les meilleurs propriétaires de fantasy football analysent le bon, le mauvais et le laid. Vous ne pouvez pas créer des récits et des opinions biaisées sur les gars dans votre tête et espérer réussir. Vous devez comprendre les variables positives et négatives et, à votre tour, peser le pour et le contre de la rédaction de chacun des atouts de la fantasy.
DOMINER VOTRE DRAFT : Ultimate 2022 fantasy cheat sheet
Comme chaque année, nous allons mettre en avant certains de nos joueurs volatiles (les moins) préférés dans notre équipe Boom-or-Bust. Notez que nous ne nous en prenons pas uniquement aux risques de blessure comme Christian McCaffrey ou Saquon Barkley. C’est trop facile. Les blessures font partie de l’équation, mais nous essayons plutôt d’identifier les joueurs qui pourraient décevoir même s’ils restent en bonne santé toute l’année. Nous ne disons pas nécessairement que vous devez éviter ces gars, mais donnez définitivement une seconde pensée avant d’appuyer sur le bouton “draft” en 2022.
Rankings PPR 2022:
QBs | RBs | WRs | TEs | D/STs | Kickers | Top 200 | Superflex
Que tous vos joueurs draftés atteignent leur plein potentiel, et que les blessures et la régression hantent les rêves de vos adversaires. Amusez-vous bien !
Rapports standard de 2022:
QBs | RBs | WRs | TEs | D/STs | Kickers | Top 200 | Superflex
Fantasy Football Boom-or-Bust Team 2022
QB Boom-or-Bust
Russell Wilson, Broncos (QB11 ADP)
Russell fera la cuisine à Denver dans un avenir prévisible. Il a participé à neuf Pro Bowls et deux Super Bowls à Seattle, et est passé à quelques centimètres de rejoindre l’illustre club des QB à deux bagues.
Donc, quelles sont les perspectives de Wilson dans la ville haute du Mile ? Les jeunes receveurs des Broncos Jerry Jeudy et Courtland Sutton sont décents, mais ils constituent un net déclassement par rapport à DK Metcalf et Tyler Lockett. La situation des tight ends de Denver depuis l’échange de Noah Fant semble également obscure – Albert Okwuegbunam et Greg Dulcich sont presque aussi difficiles à projeter qu’à épeler. De plus, K.J. Hamler, qui reprendra les fonctions de WR3 à la place de Tim Patrick, blessé (genou droit), sort de sa propre blessure grave (genou gauche, hanche gauche).
Cependant, Wilson obtient une nette amélioration au niveau de la ligne offensive et du running back. Pro Football Focus classe la ligne de Denver au 16e rang avec une chance de monter si le centre Lloyd Cushenberry III continue d’évoluer. La ligne de Seattle est classée 32e. Le tandem de coureurs Javonte Williams et Melvin Gordon a combiné 1 821 yards au sol, 529 yards à la réception et 17 TDs la saison dernière.
Cela enlève une tonne de pression à Wilson, qui n’a pas vu un arrière dépasser 749 verges au sol ou six TD au sol depuis 2019. M. Unlimited a couru pour sa vie au cours de la dernière décennie – il a été sacké 436 fois depuis 2013, ce qui donne une moyenne de 48,4 sacks par saison – alors il bénéficiera d’une certaine stabilité de la poche.
Voici la raison la plus significative d’être optimiste pour DangeRuss cette saison : Nathaniel Hackett. Le nouvel entraîneur-chef de Denver, qui a été le coordinateur offensif d’Aaron Rodgers et des Packers de 19 à 21, ne sera que le deuxième HC de la carrière NFL de Wilson. Il pourrait très bien “laisser Russ Cook”, étant donné que Rodgers a remporté le titre de MVP lors de chacune des deux dernières saisons. Bien sûr, il pourrait aussi se montrer conservateur et privilégier les courses afin de préserver Wilson pour les playoffs.
Wilson est notre capitaine Boom-or-Bust – gardez-le dans votre viseur autour du septième ou huitième tour des ligues à 12 équipes. Plus tôt, et vous pourriez vous donner des coups de pied pour avoir laissé passer une valeur assurée pour un choix QB risqué dans une nouvelle ville. Plus tard, et vous pourriez regretter de ne pas avoir opté pour son upside de calibre MVP dans une jeune attaque excitante.
Mention honorable : Tua Tagovailoa, Dolphins ; Trey Lance, 49ers ; Daniel Jones, Giants
Dormeurs de rêve 2022:
QBs | RBs | WRs | TEs | D/STs | Une personne de chaque équipe
RB Boom-or-Busts
Antonio GIbson, Commandants (RB18 ADP)
Gibson semble être un back parfait à présenter comme un boom-or-bust. Beaucoup d’entre nous étaient grands sur lui l’année dernière, puis il a souffert d’un début décevant avant de terminer assez fort. Au total, il a marqué 10 touchdowns et enregistré 1 331 scrimmage yards, ce qui est bon pour 187,1 points fantasy standard et 229,1 points PPR (tous deux 10e parmi les RB).
L’année dernière, nous avons été nombreux à nous intéresser à lui
Gibson pourrait facilement exploser dans le top 5 des backs PPR cette année s’il obtient plus de 18 touchers, mais il pourrait aussi dégringoler dans les années 30 ou 40 s’il continue à perdre apparemment du terrain au profit du rookie Brian Robinson Jr. Il a été très présent dans la zone rouge, avec 48 contacts qui ont donné lieu à neuf touchdowns. Il a également démontré des compétences supérieures à la moyenne en tant que receveur de passes, captant plus de 81 % de ses 96 cibles au cours de ses deux premières saisons.
Cependant – cri d’enregistrement – certains dos d’âne existent. Le receveur de passes J.D. McKissic a re-signé cette saison après avoir renoncé aux Jets, et Robinson pourrait compromettre l’utilisation intensive de Gibson sur la ligne de but. Ajoutez à cela les problèmes de Gibson avec la perte de la pierre – ses six fumbles égalent Ezekiel Elliott pour le plus grand nombre dans la NFL depuis 2020 – et nous avons un potentiel de buste. Ne draguez pas Gibson dans les premiers tours des standards, mais ne le laissez pas non plus glisser trop loin dans les PPR, même avec les inquiétudes concernant Robinson qui commence à la place de Gibson.
Damien Harris, Patriots (RB27 ADP)
Mes frères de Boston détestent probablement que je continue à présenter Harris dans des articles avec le mot ” bust ” dans le titre, mais comme Bill Belichick le dit souvent : ” c’est ce que c’est. ” Harris a connu des statistiques fantastiques lors de sa deuxième campagne NFL grâce à une charge de travail incroyablement importante dans la zone rouge et sur la ligne de but. Ses 15 TDs la saison dernière ont représenté 90 de ses 178,8 points standard, un total qui lui a valu d’être classé parmi les 10 premiers entre la semaine 1 et la semaine 17.
La saison dernière, il a été le premier joueur de l’année à être classé parmi les 10 premiers
Les backfields de Belichick peuvent être déconcertants, et les charges de travail peuvent grandement varier en Nouvelle-Angleterre d’une saison à l’autre. Le back de deuxième année Rhamondre Stevenson a connu une campagne de rookie impressionnante, et le rookie entrant Pierre Strong semble également être un ajout solide (ou un vautour, selon votre perspective). Nous aimons toujours Harris comme un back de ligue standard top-21 (avec un upside dans les années 10), mais nous conseillons d’attendre le sixième ou septième tour pour l’attraper dans les ligues PPR à 12 équipes.
Mention honorable : Cam Akers, Rams ; David Montgomery, Bears ; Cordarrelle Patterson, Falcons
STRATEGIE DE DRAFT FANTASTIQUE 2022:
Snake drafts | Auctions | Dynasty | Best ball | IDP
WR Boom-or-Busts
A.J. Brown, Eagles (WR10 ADP)
Quand il est en bonne santé, Brown se classe parmi les 10 meilleurs receveurs de la NFL. Selon PFF, Brown se classe dans le top 5 à la fois dans la note de réception et les yards par route parcourue tout au long de sa carrière de trois ans. C’est un grand receveur physique, doté de grandes mains et d’une vitesse d’évasion extraordinaire, un profil de compétences qui complétera bien DeVonta Smith, le choix de Philadelphie au premier tour en 2021. Le temps que Brown a passé au Tennessee – surtout après la blessure de Derrick Henry qui a mis fin à la saison – a démontré qu’il peut faire des jeux de rupture même lorsqu’il est le point focal évident des défenses.
Le problème : les blessures ont obligé Brown à jouer moins de matchs au cours de chacune des deux dernières saisons. Il a manqué quatre matchs l’an dernier et trois l’année précédente. Son record en carrière en termes de verges de réception est de 1 075 verges, et il a réussi à obtenir des TD à deux chiffres une fois en trois campagnes.
De plus, Jalen Hurts n’a pas prouvé qu’il était un QB capable d’aider les wide receivers à faire de grandes saisons. Il a amélioré sa précision l’année dernière, mais l’offensive de Philadelphie, qui privilégie la course, n’aidera pas Brown à s’épanouir plus qu’il ne l’a fait dans l’offensive du Tennessee, qui privilégie la course. Et contrairement au Tennessee, il devra rivaliser avec un autre WR solide et un TE à fort volume pour les cibles.
Il y a beaucoup de choses à aimer à propos de Brown, mais compte tenu des drapeaux rouges, il est difficile de justifier de le prendre aussi tôt qu’il va, surtout compte tenu de la profondeur de la position WR. Considérez-le comme un quatrième tour qui ira probablement dans le troisième.
Marquise Brown, Cardinals (WR23 ADP)
Comme Wilson et A.J. Brown, Hollywood commencera la saison 2022 avec une nouvelle équipe après avoir été échangé à Arizona lors du premier tour de la NFL Draft. Brown a montré des éclairs de brillance tout au long de sa carrière de trois ans, et il sort de sa première campagne de 1 000 yards. Cependant, la saison dernière a également marqué le plus bas niveau de Brown en termes de yards par capture (11,1) et le plus haut niveau de sa carrière en termes de drops (sept, un de plus qu’en 20 et trois de plus qu’en 19).
Pour autant, il est facile de s’enthousiasmer à l’idée d’ajouter Hollywood à votre équipe de fantasy. Il rejoint son ami et ancien coéquipier de collège Kyler Murray, qui lance une bien meilleure balle profonde que Lamar Jackson et a une bien meilleure attaque de passe globale autour de lui. Bien sûr, le wideout All-Pro DeAndre Hopkins sera suspendu pour les six premiers matchs de l’année – ce qui nuit clairement aux Cards – mais cela pourrait signifier beaucoup de volume en début de saison pour Brown. Cela pourrait également signifier une double couverture et une autre année de régression.
Est-ce que Brown vaut un choix de cinquième tour, cependant ? Il est probable qu’il paye cette valeur pendant l’absence de Hopkins, mais s’il se contente d’afficher des chiffres à la Christian Kirk en fin de saison (3,8 prises, 54,4 yards, quatre TD totaux en 10 matchs avec Hopkins l’an dernier), alors Brown sera finalement un buste.
Robert Woods, Titans (WR39)
Bobby Trees a servi de superbe atout de fantaisie jusqu’à ce que Cooper Kupp prenne le contrôle du monde des receveurs. Woods a connu une percée dans sa carrière au cours de ses premières années à Los Angeles, mais les blessures et la régression du volume ont fait leur apparition lors de la course au Super Bowl des Rams en 2021. Aujourd’hui, Allen Robinson remplace Woods sur le tableau de profondeur des champions en titre, tandis que Woods reprend l’ancien rôle de A.J. Brown au Tennessee. Pour les fans et les gardiens de Woods, cela devrait être à parts égales excitant et terrifiant.
Pour une, Woods se remet d’une déchirure du ligament croisé antérieur gauche qui lui a coûté la seconde moitié de sa saison 2021. À 30 ans, c’est une blessure assez importante pour un gars projeté pour être le WR1 de son escouade. Pour ajouter aux points d’interrogation, le Tennessee a l’habitude de courir beaucoup avec Derrick Henry, deux fois champion des courses, dans le champ arrière, et les Titans ont recruté le wideout Treylon Burks de l’Arkansas au premier tour pour qu’il devienne le wideout numéro 1. Woods pourrait facilement mettre en place une troisième campagne de 1 100 yards/sept TD, mais il pourrait tout aussi bien s’évanouir dans l’obscurité.
Il n’est pas drafté particulièrement tôt, mais compte tenu de la panoplie d’options à haut upside dans le palier WR de Woods, le coût d’opportunité de le drafter ne doit pas être négligé. Vous pouvez probablement faire mieux.
Mention honorable : Amari Cooper, Browns ; Rashod Bateman, Ravens ; DeVante Parker, Patriots
Valeurs d’enchères 2022 (Standard & ; PPR):
QBs | RBs | WRs | TEs | D/STs | Kickers | Overall
T.J. Hockenson, Lions (TE7 ADP)
Il y a tellement de choses à aimer chez Hockenson, 6-5, 250 livres. Il a enregistré 60 prises et plus dans chacune des deux dernières saisons et a marqué un total de 10 TD au cours de cette période. Son taux d’attrapage a augmenté chaque année, passant de 54,2 % en tant que rookie à 66,3 % en 2020, puis à 72,6 % la saison dernière.
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Donc, où est le problème ? Beaucoup s’inquiètent de l’historique des blessures de Hock – sa saison 21, comme sa campagne de rookie, a été limitée à 12 matchs. Il a eu des problèmes d’épaule, de genou et de pouce la saison dernière, tandis que sa saison 19 a été déraillée par une blessure à la cheville. Néanmoins, il y a beaucoup de valeur ici si vous obtenez le grand tight end au septième tour ou plus tard. Il a atteint une moyenne de 7,0 cibles en 21, ce qui s’est traduit par 11,7 points PPR (sixième meilleur TE). Il a également obtenu plus de 10 points PPR dans huit de ses 12 matchs
La question cette année est de savoir si les ajouts de DJ Chark et Jameson Williams aideront ou nuiront à Hockenson. Il y aura probablement moins de cibles à distribuer, mais il y aura aussi moins de concentration défensive sur Hockenson (et vraisemblablement plus d’opportunités en zone rouge). Compte tenu du risque, il y a probablement une meilleure valeur dans des gars comme Dallas Goedert, Zach Ertz, et peut-être même Cole Kmet, qui vont tous au moins 20 places après Hockenson.
Mention honorable : Kyle Pitts, Falcons ; Robert Tonyan, Packers
NOTS DE CONSISTANCE 2022:
Quarterback | Running back | Wide receiver | Tight end
Défense/Equipes spéciales Boom-or-Bust
Indianapolis Colts (D/ST3 ADP)
Une défense avec Darius/Shaquille Leonard et Stephon Gilmore semble toujours capable de faire un boom, mais les linebackers et corners d’élite ne se traduisent pas toujours par un succès de la D/ST. Cette défense d’Indy semble top-heavy et trop dépendante des turnovers et des big plays.
Beaucoup projettent les Colts comme la quatrième meilleure D/ST, mais je suis hors d’eux n’importe où avant l’avant-dernier tour de la draft. Indy semble destiné à la régression du chiffre d’affaires – cette unité s’est classée au premier rang des récupérations de fumble et au troisième rang des interceptions la saison dernière, malgré le deuxième pire taux de pression (18 pour cent).
Mention honorable : New England Patriots